Stop harcèlement - Thérapie Flandre Lys

HARCELEMENT SCOLAIRE : GUIDE PRATIQUE POUR TOUT COMPRENDRE ET AGIR

 

Le harcèlement scolaire est un réel fléau pour certains enfants et adolescents rendant leur quotidien, en un véritable cauchemar. Dans cette vidéo on va voir ce qu’est le harcèlement scolaire? Quels sont les signes qui peuvent laisser penser que son enfant est victime ? Que faire en tant que parents ? Pourquoi mon enfant ne m’en parle pas ? Comment l’aider à verbaliser ? Que faire en tant que victime ou témoin ? Comment cela se manifeste ? Ce que dit la loi ? Quelles sont les solutions possibles ? Quel est l’intérêt de la thérapie ? comment aider son enfant à en sortir ?

 

Harcèlement scolaire : c’est quoi ?

Tout d’abord le harcèlement scolaire c’est 700.000 enfants victimes par an, soit 1 jeune sur 10 d’après les données du ministère de l’éducation (2018).

Le harcèlement scolaire est la relation de dominance d’un individu ou groupe d’individus, face à un camarade, symbolisée par des actes de violences répétées et ciblées. Cela peut être des violences verbales, psychologiques, physiques, économiques ou sexuelles.  L’objectif de l’agresseur ou des agresseurs sera de nuire de façon intentionnelle par de l’intimidation.

 

Les signes 

Il y a des symptômes psychosomatiques qui peuvent laisser penser à un mal-être chez les enfants et les adolescents. Pour petit rappel sur ce que signifie le mot « psychosomatique » : « psycho » c’est l’esprit, « somatique » le corps donc quand l’esprit est perturbé le corps réagit.

Cela peut se traduire par des douleurs au ventre, à la tête, ou des douleurs ou maladies chroniques.

En tant que parent on peut également observer un refus de l’enfant de se rendre à l’école.

Une baisse inhabituelle des résultats scolaires ou une modification dans l’implication aux activités scolaires.

Un changement de comportement à la maison : avec un repli sur soi perte de confiance en soi, un isolement dans la chambre. Cela peut passer par ne plus souhaiter s’exprimer sur sa journée, être pensif, à fleur de peau avec des moments de tristesse, de colère, en étant plus irritable. La colère est souvent la traduction d’une difficulté à s’exprimer ou se faire comprendre, qui peut s’expliquer par un profond mal-être ou des pensées qui parasitent l’esprit de votre enfant.

Cela peut également se traduire par une perte d’appétit due à l’absence de goût et de plaisir, qui peut dans certains cas, être révélateur d’un épisode dépressif.

On peut également observer des symptômes d’anxiété, de phobie qui se manifeste par une peur intense comme pour sortir, de la foule.

Une difficulté à s’endormir en lien avec les ruminations, les pensées désagréables. Cela peut aussi être symbolisé par des insomnies, par des réveils dans la nuit ainsi que des cauchemars. En tant que parent cela peut être perceptible lorsque certains enfants parlent ou crient dans la nuit, un peu comme forme d’extériorisation sur ce qui a pu être vécu dans la journée.

Quand l’enfant est seul, ou la nuit quand tout le monde dort, il peut exister une volonté de se faire du mal en se sacrifiant les bras, les cuisses, ou encore le ventre. Cela pouvant aller jusqu’à avoir des pensées de suicide. Autant d’éléments exprimant une souffrance, un profond mal-être.

 

En tant que parents que faire ?

Tout d’abord vous pouvez lui demander dans un premier temps s’il est ou a été un jour victime ? Si vous avez des doutes, une piste serait de verbaliser votre ressenti. Vous vous tromperez rarement.

Si vous avez un doute vous pouvez formuler la phrase ainsi « je me trompe certainement, j’ai l’impression qu’en ce moment tu es…. triste, en colère, pensif, tu te mets en retrait, tu as moins d’appétit que d’habitude,… ». Soit il validera votre intuition, et ça peut ouvrir sur une discussion. Soit il niera, à ce moment vous pouvez simplement lui montrer votre disposition.

Vous pourriez dire une phrase qui pourrait ressembler à « Ok autant pour moi, je me suis certainement trompé. En tout cas si un jour ça devait arriver ou si tu as un camarade qui en est victime et que tu souhaites en parler, je serai là pour toi, quand tu le voudras ».

Par contre il faut bien garder en tête que le jour où il ou elle fera un pas vers vous pour en parler directement, ou en faire allusion, il attendra de voir si vous êtes en accord avec votre proposition.

Donc soit vous avez du temps à lui accorder et à ce moment la discussion peut débuter. Soit vous n’êtes pas suffisamment libre, alors lui expliquer la raison pour laquelle ce n’est pas possible et proposer 2 autres choix pour qu’il choisisse ce qui lui paraîtra le plus adapté.

Pour cela vous pourriez opter pour une phrase qui ressemblerait à « j’entends que tu souhaites me parler d’un sujet, et comme je vois que c’est quelque chose qui te tiens à cœur je préférerai qu’on ait plus de temps que là (car j’ai un RDV dans 15 minutes), préfères-tu que l’on en parle quand je rentre dans 1h ou ce soir après le dîner ?

L’objectif est clairement qu’il/elle ne se sente pas « abandonné(e) par son tiers secure qui représente son pilier, son équilibre.

Il serait tout à fait compréhensible que le ou les parents ressentent une forme de culpabilité de ne pas avoir vu ou pris conscience de l’étendue du mal-être car la volonté première et le bien-être de son enfant.

Vous avez la possibilité d’appeler le responsable de l’établissement scolaire pour l’informer de la situation, voir si des mesures ont été mise en place ou à défaut ce qui compte être envisagé pour casser cette dynamique violente. Vous pouvez aussi avoir la possibilité de voir si l’infirmière scolaire a pu être contacté par votre enfant pour exprimer un mal-être ou le verbaliser autrement avec notamment une plainte de douleurs qui pourraient maquiller sa volonté de se mettre en retrait le temps d’un instant.

 

Ce qui peut expliquer que la victime n’en parle pas :

Il peut y avoir des raisons multiples et propre à chacun, la victime peut ressentir un phénomène de culpabilité, de honte d’avouer ce qui ne se passe. De penser que ce qu’on a subi n’est pas assez grave pour être pris en considération. Avoir des difficultés à s’exprimer, appréhender la réaction que ses parents pourraient avoir, qu’il y ait des conséquences plus importantes, des représailles si la victime « balance ». Il peut y avoir également une volonté de ne pas déranger ses parents, les protéger pour ne pas les faire souffrir, ou croire que ces derniers ne le comprendraient pas.

 

Que faire en tant que victime ? 

Tout d’abord le meilleur reflex lorsqu’on est victime est d’en parler autour de soi, dans l’idéal avec un adulte avec qui on se sent en confiance : un parent, un proche de la famille, un professionnel de l’établissement, un professeur.

Lorsque l’on est victime on peut également en parler à un ami en qui on a confiance pour pouvoir d’une part avoir un moment pour s’exprimer sur une souffrance, pour éviter de tout garder pour soi et d’en souffrir plus, avec la possibilité par la suite, d’informer de cette situation à un adulte, briser le silence pour essayer de faire le nécessaire pour arrêter ces violences.

En tant que victime il est nécessaire d’éviter de s’isoler car bien que ce soit la solution que l’on peut facilement mettre en place, elle a pour des faut que l’on s’enferme dans une forme de bulle psychologique symbolisé par les ruminations. C’est comme si les pensées vous traversaient l’esprit, pour que cette bulle vous les renvoie comme des claques psychologiques qui ne font qu’augmenter votre souffrance. L’idéal serait de sortir, ne serait-ce que 20 à 30 minutes. Car le fait de se mouvoir, de bouger, physiologiquement votre corps va sécréter de notamment des endorphines, hormone naturelle du bonheur avec un rôle anti-stress.

Ça ne signifiera pas que les problèmes seront résolus, on est bien d’accord. Cependant pendant ces quelques minutes que l’on s’accorde, notre esprit sera préoccupé sur d’autres tâches : marcher, écouter de la musique, regarder un paysage, une scène de la vie courante (voir des personnes parler, vérifier que la voiture nous a bien vu avant de traverser), aller acheter du pain. Quel que soit ce que vous ferez, ce sont autant d’éléments faisant diversion dans votre esprit et qui vont modifier, ne serait-ce qu’un peu plus, les pensées que vous auriez eues si vous étiez resté seul dans votre chambre.

 

Comment le harcèlement scolaire se manifeste ?

Cela débute souvent par des violences verbales et psychologiques manifestées par des moqueries, des brimades. Cela peut aussi passer par des surnoms ou allusions blessantes et/ou discriminantes en lien avec une différence quelle qu’elle soit : couleur de peau ou de cheveux, origine, accent, patronyme, taille, poids, homophobie, identité sexuelle, milieu social, apparence vestimentaire, centres d’intérêts ou handicap physique, psychique ou mental. On peut lancer des rumeurs pour salir la réputation du jeune. On pourrait chercher à vous intimidé par des violences physiques comme se faire bousculer, frapper, ou par des actes d’humiliation : salir volontairement sa victime, lui cracher dessus, lui uriner dessus.

Pour certains cela peut se manifester par le vol de ses affaires, repas ou argent.

Cela peut également aller jusqu’à imposer un acte non consenti : embrasser de force, attouchement sexuel (poitrine, fesses, sexe) jusqu’au viol ou à la menace par chantage de nature sexuel ou non pour éviter une contrepartie. Dans certains cas cela peut aller de photos prises ou diffusées à l’insu de la victime : photos intimes après avoir levé une jupe ou soulever un haut de vêtements. La diffusion par le ou la partenaire de photos à caractère sexuel, au moment où la victime était en couple avec son ou sa partenaire, après une séparation. La victime peut également recevoir des commentaires non désirés à caractère sexuel de la part d’autres élèves : notamment sms ou sur les réseaux sociaux.

Le harcèlement scolaire peut toucher à tout âge, quel que soit son milieu social, son origine. Il peut toucher aussi bien dans un établissement privé que public, donc en tant que parent on peut toujours être confronté à ce phénomène sociétal.

Le harcèlement peut prolonger cette souffrance au travers des réseaux sociaux, rendant invivable le quotidien des jeunes. Cela peut se comprendre car ce sont des moments cruciaux dans la construction de son identité et aussi car on vit au travers de la relation à l’autre et notamment du regard que l’autre peut porter sur soi. Les réseaux sociaux auront le pouvoir terrible dans ces moments, de rendre public une souffrance intime. La victime aura plus de difficultés à trouver sa place, notamment si elle observe un regard différent, ciblée sur sa personne.

 

 

Ce que la loi dit

Quel que soit l’âge de la victime, il est possible de porter plainte jusqu’à 6 ans après les faits au commissariat de Police ou à la Brigade de Gendarmerie. Il est primordial d’être conscient que la plainte ne peut vous être refusée. Cela peut aussi être fait par courrier au Procureur de la République. *

Un enfant mineur qui harcèle peut être sanctionné de 6 à 18 mois de prison et de 7.500 € d’amende. Pour un majeur qui harcèle, 1 à 7 ans de prison et 15.000 à 100.000€ d’amende.

 

Solutions qui pourraient être envisageable

Comme on le voit dans les textes de loi, vous avez la possibilité de porter plainte.

Des campagnes de sensibilisation sur le harcèlement scolaire et l’intimidation pour essayer de sortir du silence de ces actes qui n’ont pas leur place dans un milieu scolaire, péri scolaire, ou sur le chemin entre l’école et le domicile.

Mettre en place des actions de prévention dans les établissements scolaires, un soutien psychologique pour les victimes, familles, professionnels encadrants.

Prendre en considération que le harcèlement scolaire nécessite une réponse collective. Il ne s’agit pas d’une relation agresseur vs victime. Les témoins directs ou indirects ont également leurs parts de responsabilités pour permettre de tendre vers un changement.

Il semble judicieux de reconnaitre l’incident afin que la victime soit considérée en tant que telle face à la situation constatée. L’objectif sera que des mesures puissent être prises pour éviter d’éventuelles récidives.

Il y a la solution de la sanction contre l’agresseur pour éviter un sentiment d’impunité ou une escalade des actes violents : comme l’expulsion de l’agresseur, bien que cela puisse exacerber le problème en créant ou en augmentant un fossé avec le système scolaire. Malgré tout, il pourrait sembler intéressant d’accompagner également les familles d’agresseurs dans un travail thérapeutique. En effet, il n’est pas rare que ces comportements violents soient appris ou vus à la maison.  L’objectif serait de travailler sur certaines normes apprises pour apporter un regard différent pour amener à une évolution satisfaisante. L’aider à mieux traverser un moment de frustration, en y apportant une réponse plus adaptée au contexte. Travailler de façon précoce, dans un but de coopération afin de casser cette boucle relationnelle dysfonctionnante.

Que chaque jeune puisse essayer à son niveau de contester un harcèlement contre un camarade : intervenir physiquement pour éviter une violence, verbalement pour défendre car les agresseurs joue principalement sur la peur qu’ils peuvent susciter, et tant qu’il n’y a pas de réaction, ça ne fait que majorer « le pouvoir » qu’on veut bien leur accorder.

Cet aspect me semble le plus essentiel, car la situation qui sera vécu comme étant la plus douloureuse, ne sera pas la maltraitance, mais bien le sentiment d’être « abandonnée »  malgré la présence de tiers : camarade, adultes, enseignants, car il peut arriver également de vivre des formes de harcèlement en classe.

Enfin la thérapie me semble nécessaire car il est assez récurrent d’accompagner des anciennes victimes devenues adultes, et qui à la suite de ces actes de violences, décroche de l’école, développe des peurs, pouvant aller jusqu’aux phobies. Cela entraîne souvent un réel impact plusieurs années après, avec des freins lors de recherches d’emploi, ou quand les anciennes victimes envisagent une reprise des études mais se sentent comme bloquées, paralysées par les souvenirs.

Enfin les numéros de téléphone gratuits mis à disposition 3020, 0800 200 000, ou une association d’aide aux victimes 116 006 ainsi que les accès contacts par mail, chat ou Messenger, ou pour être appelé. *

 

Intérêt de la thérapie

Ce qui va entraîner le début du harcèlement scolaire, sera les différences que ciblent le ou les agresseurs. Ce seront les portes d’entrées dans ce jeu relationnel. Un peu comme si vous faisiez un ping-pong relationnel, dans laquelle chacun interagira pour influencer une réaction chez l’autre. Soit pour nuire sa victime de façon volontaire ou involontaire, soit pour fuir ou se défendre pour manifester, en tant que victime, sa façon de ne pas approuver.

Souvent la victime aura tendance à se justifier ou montrer que ce n’est pas vrai pour stopper ces situations de harcèlement. Ces réponses sont tout à fait logiques et marchent dans une majorité de contexte. Le problème est que dans certains cas, toutes ces réponses logiques ne font qu’alimenter le problème au lieu de le résoudre.

La thérapie aura donc pour objectif de comprendre la situation pour envisager de nouveau mécanismes personnalisés, pour arriver à casser cette boucle infernale dans laquelle la victime se trouve enfermée.

L’aider à percevoir de nouvelles possibilités, en accord avec ses besoins, ses valeurs, ce qui est précieux pour elle.

La thérapie aura pour objectif également d’aider le jeune à être suffisamment équipé pour faire face aux situations, pour arriver à faire de cette épreuve douloureuse une force pour la suite. Également développer ses ressources pour l’aider à évoluer différemment, reprendre du plaisir.

Il est très régulier de constater de profonds dommages avec des scènes vécues comme traumatisantes. La thérapie permettra d’aider le cerveau à digérer ces explosions d’émotions, pour à terme retrouver un équilibre satisfaisant.

Quand la victime à perçues ces violences comme si elle était « seule au monde », comme abandonnée de soutien, la thérapie permettra d’amener une évolution en mettant notamment en lumière les ressources, les valeurs et tout ce qui peut être précieux pour le jeune, afin de l’aider à se reconstruire, et développer sa confiance en soi, et par la même sa confiance aux autres.

 

* Notes bas de page :

Par courrier

Vous pouvez porter plainte directement auprès du procureur de la République. Il faut envoyer une lettre sur papier libre au tribunal judiciaire du lieu de l’infraction ou du domicile de l’auteur de l’infraction.

La lettre doit préciser les éléments suivants :

  • État civil et coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone) du plaignant
  • Récit détaillé des faits, date et lieu de l’infraction
  • Nom de l’auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposé plainte contre X)
  • Noms et adresses des éventuels témoins de l’infraction
  • Description et l’estimation provisoire ou définitive du préjudice
  • Documents de preuve : certificats médicaux , arrêts de travail, factures diverses, constats ….
  • Volonté de se constituer partie civile

A mettre dans description https://www.service-public.fr/simulateur/calcul/Porter_plainte

 

Par téléphone

3020 – Net écoute

Service ouvert tout au long de l’année du lundi au vendredi de 9h à 20h. Le samedi de 9h à 18h, sauf les jours fériés

Numéro vert : appel et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile

Pour poser vos questions de façon anonyme et confidentielle sur le harcèlement en ligne (cyber-harcèlement).

 

Par téléphone

0800 200 000

Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 19h

Appel et service gratuit

 

116 006 – Association d’aide aux victimes, disponible pour toute personne victime 7/7j  et de 09h00 à 19h00.

Par mail : victimes@france-victimes.fr

 

Par mail, chat, Messenger ou pour être rappelé

Accès au formulaire de contact

Association d’aide aux victimes

 

 

SPORT ET PERFORMANCE

Thérapie Flandre Lys - Sport et performances
Thérapie Flandre Lys – Sport et performances

Sportifs : les secrets d’une bonne préparation mentale pour développer votre potentiel.

Le sportif quel qu’il soit, athlète, de bon ou haut niveau, ou encore champion, traverse de multiples phases qui l’accompagnent inévitablement toute sa vie et qui est d’autant plus décuplé durant les phases de préparation de compétition.

Des moments de joie, de doute, de peur, des failles

Être sportif ce n’est pas un statut qui limite la personne à cette seule identité.

Avant d’être sportif, on est avant tout une personne, un homme/une femme, un fils/une fille, un frère/une sœur, un époux/une épouse, un ami/une amie, un partenaire pour quelqu’un.

La défaite n’est jamais agréable quand on se prépare pour gagner. Elle est même douloureuse. On peut néanmoins en faire une force pour construire notre identité. Car la souffrance intérieure qu’on a vécue fait qu’on fera par la suite les efforts nécessaires pour ne plus revivre ce type de situation.

Une bonne préparation mentale nécessite d’assumer ses choix, les provocations, les moqueries, les différences. Autant d’éléments pouvant être un frein pour le développement et l’exploitation du potentiel pour atteindre une performance.

La thérapie dans le sport : atout majeur

Voir un thérapeute ou un psychologue peut être vécu comme un aveu de faiblesse, surtout dans un milieu de compétition où l’on doit prouver sa domination sur l’autre pour prétendre à la victoire finale. On peut voir aussi tous les avantages d’un accompagnement adapté. En faire une vraie force pour potentialiser ses ressources. Traiter toute contrariété du quotidien. Toute peur par anticipation pour se sentir parfaitement libre psychologiquement d’exploiter son potentiel dans les meilleures conditions. Avec pour maître mot de n’avoir AUCUN REGRET. Il vaut mieux en effet avoir des remords que des regrets « et si j’avais fais ça qu’est-ce que ça aurait donné ? ». Les regrets sont souvent les meilleurs moyens de souffrir en restant dans l’image du passé qui aurait pu être différent s’il y avait eu d’autres choix. On ne peut pas revenir sur le passé.

 

Une des clés du succès : la résilience

Cette capacité que l’on peut tous avoir si on est bien guidé pour faire d’une faille une force. D’une défaite douloureuse, car vécu comme injuste, comme ayant été impuissant à cet instant, comme une humiliation, ou tout simplement pas suffisamment préparé, un élément déclencheur. Créer des changements, faire autrement, s’adapter, se reconstruire dessus pour sublimer tout son potentiel. Les vainqueurs ne sont pas toujours les plus forts, mais les mieux préparés, les mieux armés.

 

La victoire n’est pas une fin en soi

 Gagner est un objectif. Et repartir après une victoire fait partie des défis les plus durs dans une carrière. Ne pas s’arrêter à un objectif. Repartir de zéro pour que la victoire ne soit qu’une étape vers un autre objectif.

Atteindre le toit du monde n’est pas toujours le plus compliqué. Y rester est souvent bien plus difficile car on est plus attendu, observé, ciblé. Pour pouvoir affronter cette période à venir, cela nécessite d’être parfaitement préparé mentalement et psychologiquement . L’échec a pour vertus d’être une expérience pour prendre des enseignements pour les fois suivantes afin d’évoluer, avoir une préparation stratégique.

Les victoires se gagnent aux entraînements, aux capacités intrinsèques de l’athlète. Elles se gagnent aussi et surtout au mental. C’est le mental qui nous fait avancer pendant les difficiles reprises d’entraînement. Quand il faut se remettre en condition et dans ces moments douloureux où l’on peut se sentir en difficulté.

 

La thérapie dans le sport : objectifs

La thérapie dans le sport a pour objectif d’aider l’athlète à libérer ses ressources. Le guider pour traverser au mieux ses émotions afin qu’elles soient de réels moteurs pour les performances.

C’est aussi l’accompagner dans sa SENSIBILITÉ au contexte qui l’entoure.

Sensibilité dans la conception la plus noble chez le sportif: les SENS qui sont tous en éveil, totalement développés. Et qui, s’ils sont bien exploités vont construire le sportif pour renforcer pleinement son identité, ses ressources. Tous ces facteurs qui permettent de réussir à faire face MALGRE TOUT.

Le travail en thérapie est aussi de guider vers la confiance en soi pour croire en soi, en ses ressources et capacités. Ainsi qu’en son potentiel pour toujours arriver à se surpasser. Apprendre à prendre plaisir, à s’étonner, et apprendre à prendre conscience de son potentiel intrinsèque, et à dépasser ses axes d’amélioration.

La réussite est comme une recette de plusieurs éléments. On peut notamment retrouver les capacités intrinsèques, la préparation physique et mentale. Arriver également à dépasser ses idées ou fausses croyances. Savoir saisir certaines opportunités qui se présentent à soi. Qu’elles finissent par être agréables ou douloureuses car elles ne seront qu’une expérience dans votre vie, une étape pour un avenir différent.

 

Belle est la victoire, plus belle sera la gestion de l’après

 L’un des paramètres sur lequel le sportif doit se préparer est aussi réussir à gérer l’après victoire. Cela n’est parfois perçue chez les personnes extérieures comme une normalité et qui n’observent que le résultat final. Ce n’est pourtant que la vitrine d’un instant T au moment de la compétition et qui ne représentent en rien le travail nécessaire pour accéder à ce but. D’où l’importance d’une bonne préparation pour maintenir et renforcer l’appétit du toujours plus. Avec le piège de se dire que l’on est dans le vrai, que l’on a la bonne recette et qu’il ne faut rien changer. Car les perdants d’un jour seront les affamés d’une fois suivante, pour dominer à leur tour. Cela nécessite cette volonté d’évolution comme marqueur d’une palette plus complète pour s’adapter aux situations servant le compétiteur. Et ce, aussi bien dans sa vie sportive/médiatique, que dans sa vie personnelle/sentimentale/familiale.

La thérapie dans le sport a donc un intérêt dans cette phase. Pour qu’un sportif puisse pleinement se développer dans sa passion/son métier, dans son art, il est plus que nécessaire qu’il se sente bien dans sa tête, sa vie quotidienne, pour être tellement focalisé sur ses objectifs et les prochaines échéances à venir.

La victoire est ainsi le fruit du sens accordé aux absences passées autour des siens. Comme une justification à tous ces sacrifices nécessaires pour atteindre ses objectifs.

 

Blessures/ rechutes : la peur d’avoir peur

La vie d’un sportif peut également être jalonnée de blessures. On peut traverser des moments de doute ou peur. A vrai dire, dans le haut niveau on est très rarement à 100% de ses capacités. Il existe toujours des douleurs ou sensations désagréables, auxquels on finit par s’habituer. C’est aussi et surtout la réalité d’une carrière professionnelle comme revers de la médaille. Bien loin des apparences que l’on peut avoir avec un regard extérieur à ce monde. Ces douleurs peuvent être difficiles, notamment lors des reprises. On peut en effet facilement vivre à travers une peur anticipatoire. La peur d’une rechute ayant un impact dans les mouvements. Devenant à la fois moins naturels, et avec le risque de nouvelles blessures. On y va parfois un peu moins franchement, plus dans la retenue. Ce qui est une réponse logique en soi et qui peut aussi avoir une répercussion sur votre santé.

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L’addiction comme tentative de solution

Dans le sport de haut niveau, l’exigence de contrôler son hygiène de vie pour éviter que ça ne soit un frein aux résultats, peut aussi expliquer la frustration du peu ou pas d’écart, pour favoriser la tentation des addictions quelles qu’elles soient : tabac, alcool, médicaments, substances toxiques, sexe et aussi et surtout l’ennemi numéro 1 : LE SUCRE.

Une limite du sportif est d’intérioriser tout, et notamment les doutes, tracas, les difficultés. Car le piège à cet instant est que cet ensemble d’éléments inhibent la performance que l’enjeu requiert.

 

Intelligence émotionnelle : propre aux grands sportifs

Les variations émotionnelles (colère, tristesse, peur) demandent une dépense d’énergie importante qui peut facilement faire passer à côté de l’événement et des objectifs fixés.

L’accompagnement en thérapie a la visée de développer l’intelligence émotionnelle sur laquelle s’appuyer pour qu’elle réponde plus à ce que l’on est, à ses valeurs et au sens que l’on accorde pour éviter de se disperser, de parasiter son esprit comme un élément toxique réduisant à petit feu ses capacités.

Garder toute cette intelligence émotionnelle pour aller chercher, puiser tout ce qui est nécessaire pour progresser, se sublimer.

La capacité à bien s’entourer, d’apprendre à écouter ses besoins, suivre son instinct et saisir les opportunités qui peuvent s’offrir à soi.

Développer ses capacités et son potentiel sont un mélange de plein d’éléments: des capacités intrinsèques, de la préparation physique et mentale, de l’entourage gravitant autour de soi comme essence même d’un équilibre suffisamment satisfaisant pour permettre de libérer au mieux le potentiel, pour atteindre les objectifs

L’une des clés du succès est donc de guider au mieux l’athlète à atteindre un équilibre satisfaisant et durable dans le temps.

 

J’espère que cet article a permis de vous éclairer sur tout ce qu’un accompagnement pourra vous apporter dans vos performances futures.

Bien sûr sentez-vous libre de commenter, partager, et me contacter si vous le désirez.

Prenez bien soin de vous, à très bientôt.

Thérapie Flandre Lys.

MANAGER VERS LA PERFORMANCE

Thérapie Flandre Lys - Manager vers la performance
Manager vers la performance

Comment atteindre les objectifs de l’entreprise, en maintenant un niveau de performance.

 

Il n’est pas toujours aisé d’être manager d’équipes. Or il est le maillon essentiel à la bonne dynamique de la société.

Car bien que l’idéal pourrait être d’allier épanouissement et performance, la réalité du quotidien peut nous dépasser. Haut niveau de stress, pression du résultat, compétitivité en entreprise. Certains n’ayant pas toujours eu les outils ou formations nécessaires pour l’encadrement et la prise de responsabilité. Également la démotivation de collaborateurs dans le temps, la perte de sens au travail. A cela peut s’ajouter le contexte économique, la gestion humaine des équipes, sans parler des nouvelles contraintes sanitaires en lien avec la COVID-19.

On ressent bien toute la responsabilité qu’à le manager pour aller vers un équilibre épanouissement et performance..

 

Savoir – savoir-faire – savoir-être

Cela peut sembler être une évidence, pourtant il s’agit bien de la base d’un management efficient :

Savoir : vos connaissances théoriques, vos compétences à occuper le poste.

Savoir-faire : vos compétences pratiques et opérationnelles

Savoir-être : votre aptitude à agir et réagir de manière adaptée au contexte.

 

Le savoir-être est malgré tout l’élément qui aura certainement le plus d’impact dans les résultats. Si vous arrivez à avoir une attitude la plus adaptée au contexte, cela aura plus de chance de réduire une forme de stress auprès de vos collaborateurs.

Ces trois éléments sont autant complémentaires qu’indissociables.

 

Développez votre pouvoir de communication

L’une des clés pour atteindre vos besoins sera votre COMMUNICATION. Votre capacité à vous faire entendre. Faire passer des messages pour atteindre les objectifs de l’entreprise. Et que chacun respecte les valeurs de la société.

Si vos collaborateurs se sentent entendus, investis dans les projets futurs. Qu’ils mettent du sens dans leurs missions.  Que les objectifs fixés soient ambitieux, tout en étant réalistes et réalisables. Le stress qui pourrait les accompagner sera ressenti différemment.

En fin de compte, la démotivation est due notamment à l’augmentation du niveau de stress.

 

Optez pour la thérapie en entreprise

La Thérapie Flandre Lys : c’est un seul interlocuteur pour trouver avec vous des solutions pour optimiser les objectifs de la société. C’est aussi un gain de temps et de l’économie pour votre entreprise.

Cet accompagnement a pour objectif de vous aider à optimiser votre management afin qu’il soit tourné vers l’action et la performance.

 

Les plans de travail sont multiples :

– Accompagnement de dirigeant, collaborateur ou d’équipe.

– Résolution de conflit ou gestion de crise.

– Avoir un axe de réflexion pour répondre aux besoins professionnels et aux objectifs de l’entreprise.

– Développement des compétences managériales

– Développement de votre autonomie et de votre potentiel

– Travail sur la confiance en soi

 

 A SUIVRE : SPORT ET PERFORMANCE

 

J’espère que cet article vous aura permis de vous apporter un autre regard pour vous aider à manager vers la performance.

En attendant je vous dis à très bientôt. Si vous souhaitez être mis au courant de nos nouveautés, inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur les réseaux.

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Prenez bien soin de vous, à très bientôt.

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MON 1ER RDV AVEC MON PSY : COMMENT ÇA SE PASSE ?

Thérapie Flandre Lys - Comment va se dérouler mon 1er rendez-vous? Quelles questions va-t-on me poser?
Comment va se dérouler mon 1er rendez-vous? Quelles questions va-t-on me poser?

Vous avez pris ou souhaitez prendre un RDV avec un thérapeute ou psychologue? Voilà les questions qui pourrait vous être posé.

 

Je ne peux vous garantir le déroulement de votre premier entretien avec un confrère. Chacun a son style. Je peux vous détailler comment se passerait une première consultation avec moi, si vous souhaitez franchir le pas. Ça vous donnera une idée des questions que vous pourriez entendre. https://www.youtube.com/watch?v=McMDY_CX-OM&t=41s

 

Apprendre à vous connaître

 Tout d’abord le but de cette première rencontre est d’apprendre à vous connaître et de comprendre les difficultés qui vous amènent à consulter.
Souvent on vous posera des questions sur votre identité: nom, prénom, date de naissance.

Votre composition familiale, c’est à dire vos parents, si vous êtes en couple ou célibataire et si vous avez ou pas des enfants.

Il se peut qu’on vous demande si vous avez des problèmes de santé et s’il y a des antécédents familiaux.

Et puis, il est possible qu’on vous questionne sur vos loisirs ou les choses que vous aimiez faire avant mais plus maintenant.

 

Comment vous être utile?

 Par ailleurs, on vous demandera ce qui vous amène à consulter. Quelles sont les difficultés qui ont un impact dans votre quotidien? En quoi on peut vous être utile, pour ainsi observer une évolution.

L’objectif de la première consultation est aussi de partir de vos objectifs. Vous proposer des pistes de travail dans le but de vous amener vers un rétablissement.

Vous aurez donc la possibilité d’accepter, de refuser ou de modifier ce qui vous est proposé. L’accompagnement devant être le plus personnalisé possible.

 

Instaurer une relation de confiance

 Avant tout, cette première rencontre vous servira à créer les prémices d’une relation de confiance.  Que vous vous sentiez suffisamment compris et écouté dans votre demande.

Lors de ce premier rendez-vous, on mobilisera également vos ressources pour vous aider aux changements vers lesquels vous souhaitez aller.

Généralement un premier entretien dure 45 à 60 minutes. Vous verrez qu’à la fin, on se dit souvent que c’était pas aussi terrible qu’on se l’imaginait.

 

A SUIVRE : MANAGER VERS LA PERFORMANCE

 

J’espère que cet article vous aura permis de vous sentir moins dans l’inconnu pour que cette première rencontre se déroule dans les meilleures conditions.

En attendant je vous dis à très bientôt. Si vous souhaitez être mis au courant de nos nouveautés, inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur les réseaux.

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DIFFERENCES ENTRE THERAPIE BREVE ET THERAPIE ANALYTIQUE?

Choisissez la thérapie la plus adaptée à votre situation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cet article va nous permettre de faire la différence entre deux types de thérapie: thérapie brève ou analytique. Ce texte est aussi destiné aux personnes qui pensent que débuter une thérapie signifie obligatoirement un suivi de plusieurs années. Celles qui recherchent la thérapie la plus adaptée à leurs situations.

 

Au moment où j’ai décidé de rédiger des publications, j’avais plein de sujets qui me venaient en tête. La question du premier article me revenait souvent, par quoi commencer ? Alors je décide de débuter par la question qui revient le plus souvent chez les personnes que j’accompagne.

L’objectif de cet article est d’essayer de montrer les différences entre la thérapie brève et la thérapie analytique.  Par conséquent, ce n’est une compétition pour savoir quelle est la meilleure.

Ces deux courants de pensée ont des complémentarités et quelques particularités. La thérapie analytique est tout d’abord la thérapie que l’on rencontre majoritairement quand on consulte un thérapeute ou psychologue.

 

Thérapie analytique : c’est quoi?

Dans ses principes, elle considère que la plupart de nos problèmes d’adulte ont pour origine des conflits non-résolus de l’enfance.

 

Thérapie analytique: objectifs?

La thérapie analytique va donc essayer de comprendre la cause pour laquelle la personne souffre. Le professionnel va essayer d’analyser ce qu’elle a pu vivre dans son passé, dans son histoire de vie, pour comprendre l’origine du mal-être.

C’est un peu comme si vous aviez une pelote de laine, et que vous détricotez cette dernière pour essayer de trouver le nœud qui est présent, comme pour essayer de démêler une situation, une difficulté.

Ce sont des techniques qui marchent bien et pour lesquelles il est important de prendre conscience que l’accompagnement dure généralement quelques mois ou quelques années, selon les difficultés et le travail qu’est prêt à consentir le patient.

 

Thérapie brève: c’est quoi?

Du côté de la Thérapie Flandre Lys, le courant de pensée est donc différent puisque notre accompagnement est basé sur ce que l’on appelle la thérapie brève.

 

Thérapie brève: objectifs?

La thérapie brève partira de votre problème au moment de la rencontre pour vous guider vers une évolution satisfaisante.

De ce fait, on va travailler sur le problème pour lequel vous venez au moment la rencontre.

C’est un petit peu comme si vous marchez dans la rue et que vous avez un caillou dans la chaussure. Généralement le réflexe est d’enlever le caillou. A priori, comprendre la raison pour laquelle il est rentré ne semble pas toujours nécessaire.  L’objectif étant simplement d’enlever ce qui vous gêne.

Le principe de la thérapie brève est le même. On n’est pas toujours obligé de comprendre les raisons des souffrances pour créer des changements, observer une évolution.

En thérapie brève, on ne parle donc pas du passé. L’exception sera si vous avez été victime d’un événement traumatisant ayant eu un impact sur votre quotidien, notamment dans votre vie personnelle, familiale, sentimentale et professionnelle.

 

Thérapie brève ou thérapie analytique: laquelle choisir?

 Comme vous devez donc le comprendre, ces deux thérapies fonctionnent toutes les deux, et sont complémentaires. Elles ont pour différences que l’une analysera la cause pendant que l’autre se concentrera sur le problème au moment de la rencontre. Egalement, que l’une aura une évolution observable plus rapidement que l’autre.

Quelle que soit la thérapie que vous souhaitez mettre en place, il faut bien partir du principe que toutes les thérapies sont efficaces, obtiennent des résultats et marchent.

Le choix de la thérapie est une décision qui est totalement singulière. Elle repose du coup sur votre volonté d’observer une évolution qui sera plus rapide ou de comprendre les raisons pour lesquelles certains problèmes sont entrés dans votre vie.

J’espère que cet article aura permis de vous éclairer sur les différences que vous pouvez observer selon les courants de pensée. N’hésitez pas si vous souhaitez laisser des commentaires. Vous pouvez aussi vous sentir libre d’envoyer des messages privés pour avoir plus de précisions ou plus d’explications.

 

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